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Les Fleurs du Mal, en édition intégrale: 172 poèmes, dont ceux qui étaient censurés


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Superlatif. Palpitant. Sensuel. Vilain. Macabre. Joyeux. Libérant. Essentiel. Poésie pour le lecteur de poésie réticent, c'est-à-dire moi. (Un peu distrait ici en écoutant l'écriture de l'amour de Belle et Sébastien que j'ai finalement acquise. D'où l'instabilité). Excellente traduction. Ne vous souciez pas de la lecture de l'original ou de ce qui est perdu dans la traduction. Chaque traduction s'ajoute ou améliore la précédente et celle-ci se lit assez bien pour moi. Où dois-je aller d'ici? Verlaine? Rimbaud? Mallarmé? Pam Ayres? (Personne n'est sur GR le week-end de toute façon, je n'ai pas à casser trop de vaisseaux érudits). Lisez cette merde maintenant.Les Fleurs du Mal ou Les Fleurs du Mal ou, extrapolons ici, La Beauté du Mal est un chef-d'œuvre de la littérature française qui devrait occuper une place de choix dans n'importe quelle bibliothèque digne de ce nom, entre Milton's Paradise Lost et Dante's Comédie divine. Car en effet, la beauté du mal, avec son arôme méphitique et pourtant si séduisant, est exactement ce dont parle ce livre - un recueil de poèmes et d'élégies reflétant les vues de Baudelaire sur notre mauvaise condition humaine provenant principalement de nos vies condamnées sur lesquelles plane comme le épée de Damoclès l'inévitabilité de la mort, pendant que nous continuons à nous leurrer en poursuivant la quête toujours aussi insaisissable d'un monde parfait, d'une existence parfaite et, osons-le dire, de l'immortalité. La réponse de Baudelaire à notre sort, aussi timide soit-il, est un évasion - une évasion pure mais principalement impure - qui, sous sa plume, prend diverses formes, allant des voyages à la drogue, du sexe à la foi, du sommeil à la contemplation - comme tant d'autres pétales des fleurs du mal l'auteur cueille l'un après l'autre dans un jeu fatidique de Loves me, Loves me not.




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